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Le préservatif au Vatican

Ecritique non protégé

Dans un souci de compréhension et de tolérance, j’ai cherché en vain les raisons d’un refus drastique du préservatif chez l’ecclésiaste vatican, représentant de l’élite chrétienne, porte parole, confident et traducteur d’un Dieu confus sur la question du culte…

En me plongeant dans les manuels d’éducation sexuelle religieux inexistants, je suis opportunément tombé sur une théorie dont je vous livre les secrets enténébrés.

Les divins vœux de chasteté auxquels n’obéissent pas toujours les obsédés du culte sont par essence des vœux pieux comme dirait Rocco.

Leur aboutissement à la sublimation par le truchement de la prière ou des travaux manuels (qui parfois rendent sourds) engendrent souvent, personne n’est parfait, une frustration sexuelle intense, qui provoque à son tour une concentration aiguë de la pensée autour de son centre masculin et son pendant lorsqu’il est inactif.

On pourrait aisément en conclure à ce stade que le pénis serait l’organe directeur de la pensée en lieu et place du chef habituel, la tête !

C’est la sanction connue de l’homme d’église voire sa « pénis capital »…

préservatif au vatican

Or, le Vatican plus qu’ailleurs se soumet aux lois divines, les adore, les révère en développant, comme dans la jungle, un taux d’humilité proche de 90%.

Pour cultiver cette humilité et lutter contre Alzheimer il pratique le rappel à sa condition inférieure inféodée à l’Esprit du souffle en recourant au couvre-chef décliné en mitre, tiare et béret pour les Basques.

Ainsi donc, un chef se couvre !!!

C’est l’idée pour celles et ceux qui n’auraient pas suivi.

Mais comme la bataille des chefs fait rage au sein du religieux, il ne doit en rester qu’un !

Le pénis ne peut pas prétendument être reconnu chef, c’est évident, alors il est déclassé, on lui retire son couvre-chef à savoir le préservatif ; c’est du reste, ce qu’ils appellent pudiquement et officieusement à Rome, la circoncision chrétienne.

Vous l’aurez compris, il en va de l’avenir du culte, de conserver son statut mystique.

Voilà pourquoi, la Vatican ne reconnaîtra jamais le préservatif…

Une autre ? Si vous en avez le temps…

Relativité du temps

Brève très secondaire sur le temps

sablier temps relatif

Le temps serait à priori relatif. Avez-vous remarqué que l’on consacre le temps proportionnellement aux hommes de taille ou à la taille des hommes. Eh oui, on donne du temps aux grands hommes, d’ailleurs on m’a demandé de faire vite…

Si les grands hommes ont du temps devant eux, derrière eux qu’en est-il ?

Etaient-ils grands avant ?

S’ils ne l’étaient pas, comment ont-ils fait pour grandir sans temps ?

Si vous sentez ce que je tente de vous exprimer, vous arriverez à temps en temps voulu ; sinon, il va y avoir des morts, des temps morts, je veux dire. D’ailleurs, certains sont arrivés ici pour tuer le temps, comme si c’était possible !

Bon, on se détend, il est grand temps pour les grands d’antan. D’autant qu’en tant qu’un tantinet temporaires, j’étends vos tempes horaires.

Vous avez l’air complètement à l’ouest, vous avez tort, l’ouest c’est hier alors que demain c’est l’est.

De toute façon, comme disait tante Acule, qui faisait couler beaucoup d’encre à l’époque :

« Patience, le temps fait pas ! »

Dans les anecdotes, j’ai même entendu une femme dire un jour :

« J’ai eu mon temps » certainement, elle s’ignorait.

Bon, il est grand temps de fermer ce débat temps, je dirai donc que finalement ça tend vers Dieu.

Temps’k you !

Une autre ? Vous prendrez bien un ballon ?

Origine du football

L’écritique du ballon rond

S’il est un sport qui suscite l’engouement des foules, c’est bien le football.
Pourquoi tant de succès ?
Quel est le plus de ce sport, son atout majeur, qui en fait une vedette populaire par excellence et un vecteur de passion ? 
Analysons donc le football afin d’en percer les secrets.
Deux camps opposés, deux équipes représentantes d’un territoire et, un objectif :
mettre le ballon dans les buts adverses.
Les joueurs se disputent ainsi le ballon, cet objet rond qui fait figure de point à l’échelle du terrain voire du stade. Ce point doit impérativement, pour assurer la victoire d’un camp, pénétrer la vacuité adverse formée par les buts .
Pour y parvenir, ces mêmes joueurs se renvoient la balle mais un seul finira par déposer le ballon au fond des cages. Prenons du recul et réexaminons la situation :
Une multitude de cellules footballistiques se hâtent vers une vacuité mais une seule pourra y déposer le ballon ; les autres joueurs sont bien là pour l’empêcher et tente la même opération dans l’autre sens.
Cela ne vous rappelle t-il rien ? Allez ! Un petit effort !

 

origine football

Mais si, la fécondation, bien sur ! Analogiquement s’entend !
C’est comme une guerre de spermatozoïdes cherchant à féconder l’ovule adverse pour ainsi asseoir la suprématie de son territoire.
C’est encore une guerre primitive pour la conquête du milieu et pour l’évolution des espèces, une illustration de la pseudo loi de la nature du plus fort symbolisée socialement par un sport.
Ne nous y trompons pas, l’homme civilisé, dominé et gouverné par ses instincts, tente de les sublimer en rejouant les scènes primordiales de la  colonisation de nouveaux territoires pour imposer son génome, enfin je suppute.
Vous me direz, c’est mieux que la guerre, certes !
C’est néanmoins un proche parent.
Les pulsions animales chez l’homme opèrent toujours de façon sous-jacente, avec, dans le football, un paradigme particulièrement fidèle lui procurant ce succès tant convoité.
Nous retrouvons ce type de schéma dans les autres sports de balle mais moins proche en réalité du processus rival de reproduction animale.

Que dire du golf et de ses dix-huit trous alors ?


Les exemples ne manquent pas !
L’homme ne sait que faire de ses instincts qu’il tente de refouler pour s’afficher  comme maillon fort, aussi a t-il inventé le sport !
Alors ? Enfant de la balle ?
Et puis allez vous faire foot !

Un autre ? Juste pour faire le point …